L’Occident avance désormais à visage découvert dans son projet d’extinction de la race humaine. Pour y parvenir, les autorités n’hésitent pas à faire la promotion de choses contre nature et de contre-valeurs qui pervertissent l’enfance, travestissent les mœurs et salissent la société.
Le débat est assez houleux depuis quelques jours. Que ce soit dans les lieux de service, dans les bars ou dans les foyers, le sujet est le même. L’éducation sexuelle sur des pratiques comme la sodomie, la pédophilie, la zoophilie, la fellation, le cunnilingus, l’homosexualité, etc. dans les écoles en Occident ne fait plus mystère. Si certains pensent que c’est une abomination pour les valeurs humaines universelles, d’autres pensent que c’est important d’en parler à l’école pour éduquer et éviter des dérapages de plus en plus importants chez les adolescents. Dans les écoles primaires en France, au Royaume Uni ou encore en Allemagne, l’enseignement sur des sujets éducatifs aux relents pornographiques, pédopornographiques, homosexuels, zoophiliques, en inadéquation avec les valeurs morales prônées par le système éducatif en général, sont devenus légion.
Du coup, la jeunesse (8 à 12 ans) est sur le point d’être une cible facile pour les homosexuels et les victimes de ces pratiques malsaines et contre nature, non pas parce qu’on l’aura prévenue qu’elles sont malsaines, mais parce qu’on aura nourri leur curiosité sur ces sujets.
Si certains éducateurs pensent qu’il est normal d’éduquer les enfants aux comportements déviants, pour d’autres, la plus-value de telles leçons n’est pas évidente. Les enfants sont de simples imitateurs dont l’éducation et l’instruction sont moins préparées à la prudence. Ils retiennent aisément une blague lancée en pleine leçon dans une salle de classe.
Lorsqu’adviendra l’enseignement des pratiques sexuelles pornographiques, ils retiendront moins les interdits qu’on y met et développeront le désir de s’y essayer. Et quand on sait le rapport à l’interdit de la jeunesse, l’on est du coup en droit de se poser la question : « que prépare l’Occident contre le monde et surtout contre des enfants qui respectent difficilement les interdits ? » Au point d’afficher des drapeaux arc-en-ciel dans les écoles, provoquant ainsi le courroux des parents ?
Cet enseignement contribue à la banalisation du sujet afin qu’il soit connu, puis toléré et enfin accepté. De tels enseignements se retrouvent dans les salles de classes où les enfants ont à peine 10 ans et sont sur le point d’inonder le continent africain, véritable réceptacle à ciel ouvert de la poubelle occidentale en matière de déviances et de travestissement de la société.
Avec les éducateurs corrompus qui écument les campus en Afrique, aux mœurs frelatées et versatiles, l’on entend déjà d’ici, des justifications du genre : « Ces enfants sont très avertis sur ces questions. C’est eux qui vous étonnent par leurs connaissances étendues sur le sujet. De plus, la télévision est le moyen de propagation rapide de ces déviances. Le but pédagogique est de montrer à nos enfants les risques liés à ces pratiques et surtout aussi de les dénoncer en ce qui concerne la pédophilie surtout ». Ou encore des excuses qui sonnent faux, tentant de faire croire que l’objectif pédagogique est de dénoncer les comportements émergeants néfastes à la santé de la reproduction, et d’éviter les milieux à risque.
La meilleure chose à faire est de punir sévèrement, de traquer sans relâche tous ceux qui sont soupçonnés de promotion, de pratique ou de tendance sexuelle déviante à même de manipuler le raisonnement des enfants. Car, ce qui choque c’est l’image d’êtres humains et d’animaux, copulant avec emphase et présentés aux enfants comme des modèles sexuels à suivre ou à imiter. Dire que ça heurte, serait un doux euphémisme, tant le choc de telle image est brutal, répugnant. Les auteurs de ce projet auraient bien pu se passer de mêler les enfants.
A son avis, la plus-value sur le plan éducatif de ces leçons reste à déterminer au regard du tollé que ça soulève dans les pays, même si cela est étouffé par des médias payés pour ne montrer que la perversion. « Ce qui, du point de vue éthique et moral, est juste inadmissible d’apprendre aux enfants des pratiques sexuelles avant un certain âge. Une façon de les encourager à s’y adonner également. La lutte contre les comportements émergeants néfastes à la santé de la reproduction passe par la répression de tels actes et non par la promotion. Pourquoi n’enseigne-t-on pas le terrorisme dans les écoles occidentales, pour aider à lutter contre cette hydre qui décime tant de vies aux quatre coins du monde, avec la bénédiction et la participation active de l’Occident ?