Botswana : fin du bras de fer entre les autorités et les médecins

Le gouvernement du Botswana et le Syndicat des médecins du Botswana (BDU) sont parvenus à un accord mettant un terme au différend qui les opposait au sujet des gardes d’urgence dans les hôpitaux publics, mettant ainsi fin à une impasse prolongée.

Dans un communiqué conjoint publié ce lundi, les deux parties ont annoncé que cette avancée avait été obtenue le 2 mai, grâce à la médiation de la ministre d’État, Moeti Mohwasa. Celle-ci a joué un rôle déterminant en encourageant les négociations pour parvenir à une solution durable.

Selon les termes de l’accord, les médecins ont accepté de retirer leur recours en justice contre le système de gardes d’urgence. La question sera désormais traitée dans le cadre de négociations encadrées par un médiateur indépendant.

Ces discussions, appelées à débuter sans délai, visent une résolution rapide afin d’assurer la stabilité du système de santé.

En signe de bonne foi, les médecins ont repris immédiatement les gardes d’urgence, rétablissant ainsi la continuité des services dans les établissements de santé, particulièrement cruciale dans les situations critiques.

Le conflit avait engendré de fortes tensions entre les professionnels de santé et les autorités, les médecins dénonçant des conditions de travail difficiles, des rémunérations inadéquates et une répartition inéquitable des charges. La conclusion de cet accord est perçue comme un pas en avant vers l’apaisement et le renforcement du système de santé national.

Selon les termes de l’accord, les médecins ont accepté de retirer leur recours en justice contre le système de gardes d’urgence. La question sera désormais traitée dans le cadre de négociations encadrées par un médiateur indépendant.

Ces discussions, appelées à débuter sans délai, visent une résolution rapide afin d’assurer la stabilité du système de santé.

En signe de bonne foi, les médecins ont repris immédiatement les gardes d’urgence, rétablissant ainsi la continuité des services dans les établissements de santé, particulièrement cruciale dans les situations critiques.

Le conflit avait engendré de fortes tensions entre les professionnels de santé et les autorités, les médecins dénonçant des conditions de travail difficiles, des rémunérations inadéquates et une répartition inéquitable des charges. La conclusion de cet accord est perçue comme un pas en avant vers l’apaisement et le renforcement du système de santé national.